Crève
Nul doute que nos espaces intimes de liberté aient toujours
été la cible privilégiée de l’avidité hégémonique et compulsive des marchands
de tout poil. Leurs propagandes suivent toutes à peu près la même logique
implacable d’appropriation : associer leur produit à une action, un
sentiment ou une idée qui nous sont chers dans le but « ultime » de
nous faire croire que le vide ainsi crée sera comblé par le passage en caisse.